Une démarche de progression.
Au début, l’archer vise une cible. Archer et cible sont deux entités distinctes. Puis avec la pratique, l’archer finit par cibler son effort sur lui-même, la cible devant l’image de son effort. Elle et lui ne faisant qu’un.
Une école d’humilité.
Atteindre le centre de la cible, c’est bien. Mais l’atteindre 5 fois, 10 fois … 100 fois ? C’est la différence entre la chance et la maitrise. Et en entrainement, c’est bien. Mais en compétition, en serez-vous capable ? Inlassablement, nous reprenons les bases.
Esprit de compétition.
Certes, nous sommes nombreux à nous présenter régulièrement aux compétitions organisées par les compagnies départementales ou régionales. Il y a même des classements nationaux. Mais la véritable compétition reste avec soi-même. Pouvons-nous faire mieux, et encore mieux ? Comment y arriver ? L’entrainement, la technique, le mental et le matériel sont les clés de cette formidable aventure.
Rigueur, maîtrise technique.
Comme tous sports de précision, le tir à l’arc est avant tout une question de maîtrise technique. Le positionnement corporel régulier garantit la stabilité. Le travail des muscles du dos autorise un effort graduel et constant. L’équilibre et la synchronisation permettent de coordonner efficacement la séquence de tir. A cet effet, le tir à l’arc emprunte le même besoin de rigueur et d’excellence que les sports les plus exigeants. Car il s’agit bien d’un sport, avec toutes les contraintes que cela implique (sacrifice, hygiène de vie, risques de blessure) mais certainement toutes les joie de se voir progresser et partager des moments extraordinaires entre passionnés.